<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />
Comme au sein de la population, l’espoir d’une demi-finale pour sa première CAN grandit dans le cœur des joueurs équato-guinéens. Une confiance qu’affiche Gilson Paulo, le technicien brésilien du Nzalang. « Nous sommes en pleine confiance. Et cela grandi au fur et à mesure que la date du match approche. Nous travaillons sereinement à l’entraînement et nous pensons être prêts pour affronter la Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré.
 
C’est certainement sans une grosse pression que le Nzalang foulera pour la deuxième fois de la compétition la pelouse du stade de Malabo. La qualification pour les quarts est déjà une grande victoire pour la Guinée Equatoriale qui n’en rêvait pas.  « Nous n’avons pas la pression du public. La pression était palpable lors de nos premiers matchs. Mais à présent, nous nous sommes qualifiés pour les quarts de finale. Tout ce qui vient n’est que du bonus », a-t-il confié.
 
Le soutien du public, il n’en doute pas, même si le Nzalang tombe en si bon chemin. « Je suis certain qu’il viendra en masse pour nous soutenir et nous espérons lui faire plaisir. Mais si nous ne sommes pas qualifiés ce ne sera pas la fin du monde. Parce que les supporters savent que nous avons une jeune équipe qui a encore une marge de progression », a-t-il conclu.
 
Par Patrick GUITEY à Malabo