Chaque jour, Sport-Ivoire résume pour vous, en un concentré explosif, les à côtés de la Coupe d’Afrique des nations 2010 qui se tient actuellement en Angola. A la une, Vahid Halilhodzic qui ne veut pas entendre parler de démission et le convoi de supporters ghanéens qui ont déferlé sur Luanda.
Vahid tient à ses intérêts
Vahid Halilhodzic reste fidèle à sa ligne de conduite. Alors qu’il a complètement échoué à la CAN 2010, le technicien bosniaque rejette toute idée de démission. Rentré en France, l’entraineur des Eléphants a confié à des proches qu’il n’abandonnerait jamais son poste. Il entend  être à la Coupe du monde sud-africaine dans le doux espoir de se faire remarquer par « un grand club ou une sélection occidentale ». Mais, l’avenir de l’ancien coach du PSG reste flou. Il pourrait en effet être victime du coup de balais prévu par le président Jacques Anouma.
Les Ghanéens envahissent Luanda
Les Black Stars « ne marcheront pas seuls » ce dimanche au stade du 11 février de Luanda. André Ayew et ses coéquipiers pourront compter sur le soutien de leurs supporters. Un gros porteur, affrété par le chef de l’Etat ghanéen, déversera plus de 3OO supporters des Black Stars dans la capitale angolaise. Et, en cas de sacre de la sélection pilotée par Milovan Rajevac, toute la délégation ghanéenne regagnera le pays en avion spécial.
Le Ghana confiant
Le Ghana a tenu samedi une conférence de presse dans son hôtel. Milovan Rajevac, le magicien des Black Stars, a fait savoir que son équipe était prête à en découdre avec les Pharaons. Qu’il a désigné comme favoris de cette finale. Mais, pour le sélectionneur ghanéen, la mission de ses hommes est claire : ils feront tout pour enlever le prestigieux trophée continental.
Une finale et un président
La finale de la CAN 2010 sera présidée par Eduardo Dos Santos, le président angolais. Aux côtés du premier magistrat du pays hôte, se trouveront Issa Hayatou (président de la CAF) et Joseph Blatter (président de la FIFA). Le président de l’UEFA, Michel Platini, sera, lui, représenté.
Par Abdoul KAPO, à Luanda