Après avoir ouvert son compteur but lors de la première journée, Baky a remis ça au stade Vélodrome. Son premier dans son nouveau chez-lui, sur la cannebière face à Sochaux pour la 4e journée de Ligue 1. Un premier but à la maison qui, Baky l’espère, ouvrira une longue série au théâtre de la folie.
Baky, avez-vous eu peur en fin de match contre Sochaux, sans Steve Mandanda, l’issue aurait pu être moins heureuse ?
Peur ? Peut-être un tout petit peu mais l’important reste d’avoir su glaner trois points. On était un peu fatigué, on a relâché sur la fin. En face, les Sochaliens étaient dos au mur et ils ont poussé. Heureusement que notre gardien nous a sauvé. Steve m’a toujours impressionné et ça ne va pas changer. C’est un très bon gardien, il l’a encore prouvé aujourd’hui. Toutefois, on n’a jamais pensé perdre ce match. Perdre deux points en revanche, oui. On s’est fait quelques frayeurs sur la fin.
Pouvez-vous nous raconter votre but, votre premier au Vélodrome ?
Mamadou Niang fait un très bon travail sur le côté et me met une très belle passe. Je n’avais plus qu’à finir. J’ai ressenti beaucoup de joie. J’avais envie de bien le célébrer, c’est mon premier but à domicile, le deuxième de la saison. J’espère que ce sera le début d’une longue série.
Pendant le match, Eric Gerets vous a replacé en deuxième attaquant au côté de Niang, est-ce que vous préférez cette position ?
Le coach a effectivement changé de tactique en cours de match en passant en 4-4-2, car Sochaux fermait bien défensivement. Le jeu a effectivement été beaucoup plus fluide ensuite. Je suis au service du collectif. L’entraîneur me positionne là où il estime que c’est le mieux et je fais mon boulot sur le terrain. 
om.net