Filippo Pozzato ne portera plus les couleurs de la Liquigas la saison prochaine. L'Italien a confirmé qu'il s'était engagé avec la nouvelle formation russe Katoucha, qui a déjà engagé le Belge Gert Steegmans.

Alors que se profile un duel alléchant face à Richard Gasquet en quart de finale, Rafael Nadal n'a pas à chercher bien loin sa source de motivation au Masters Series de Toronto. Après l'élimination surprise de Roger Federer dès le premier tour par Gilles Simon, le Majorquin, qui vient d'enregistrer au Canada sa 26e victoire de suite face au Russe Igor Andreev, n'est en effet plus qu'à six victoires du fauteuil de n°1 mondial de son rival suisse.

Si Roger Federer est assuré de finir la semaine numéro 1 mondial, ce n'est pas le cas d'Ana Ivanovic. Au repos après son succès à Wimbledon, la Serbe n'a pas pris part au tournoi de Los Angeles, où s'est alignée Jelena Jankovic (photo L'Equipe), sa dauphine. En cas de victoire dimanche, Jankovic chiperait la place de sa compatriote.

Ejecté du XV de la Rose, Brian Ashton a du mal à se recaser. La fédération anglaise de rugby lui avait proposé de prendre en main les jeunes de la sélection, mais il a refusé. L'ancien sélectionneur des finalistes de la Coupe du Monde 2007 pourrait se lancer dans les affaires en créant sa propre société de consulting pour le sport de haut niveau.

Ils sont trois en tête de l'Open de Oakville au Canada. Sur le parcours de l'Ontario, Eric Axley, Mike Weir et Anthony Kim ont tous trois signé une carte de 65, soit 6 coups sous le par. Richard Johnsonsuit à deux coups. A noter que tous les golfeurs n'ont pu finir leur parcours pour cause d'orages.
Classement (provisoire) au terme du premier tour :1. Eric Axley (EU) 652. Mike Weir (Can) 653. Anthony Kim (EU) 654. Richard Johnson (GB) 675. J.P. Hayes (EU) 67

Le Comité international olympique (CIO) confirme l'interdiction pour l'Irak de participer aux Jeux de Pékin, mettant fin aux espoirs de sept athlètes de se rendre en Chine en août.

«C'est assez incroyable ce qui vient de se passer, je ne le réalise pas encore. Je ne sais pas trop s'il a joué son pire match de l'année, mais je m'en fous ! Battre Federer, c'est toujours dur», a confié au micro de RDS, le Français Gilles Simon, fier d’avoir pu renverser la vapeur après une entame difficile. «Je l’ai trop fait jouer et il a été impérial. Il m’a montré très vite que je devais être meilleur pour gagner et j’ai réussi à le faire.»