A moins d’un mois de l’ouverture officielle du marché des transferts d’été, c’est déjà le branle-bas au sein des états majors des différents clubs européens. Et, les joueurs ivoiriens ne laissent pas insensibles les recruteurs. A partir d’aujourd’hui, sport-ivoire.ci épluche dans les moindres détails les dossiers de tous les Ivoiriens qui affolent le Vieux Continent. Début de la série avec Bamba Souleymane.
En début de saison, le défenseur formé au Paris Saint-Germain avait déjà alimenté la gazette des transferts sans que les choses n’aillent plus loin pour lui. Malgré les intérêts supposés, Bamba n’a pas quitté son club écossais d’Hibernian Edimbourg. Le défenseur international vient ainsi de boucler sa deuxième saison dans un club qui s’est classé 5è dans le championnat écossais.
Cette année, les choses pourraient cependant évoluer dans le bon sens pour le natif d’Ivry-sur-Seine. Un retour de Bamba en France n’a jamais été aussi d’actualité. Si c’est le PSG qui avait des vues sur le défenseur des Eléphants l’été dernier, le cercle des courtisans de Bamba s’est considérablement élargi cette fois. L’AS Monaco, Caen sont venus s’ajouter aux clubs désireux de recruter l’Ivoirien.
La piste la plus chaude mène cependant à l’AS Monaco. Le club princier va perdre son défenseur central Sébastien Puygrenier, prêté par le Zénith Saint-Pétersbourg. Et pour le remplacer, il a fait de Bamba Souleymane son favori. Le sociétaire d’Hibernian plait beaucoup à Guy Lacombe. Monaco aurait même supervisé l’international ivoirien à plusieurs reprises cette saison.  Les dirigeants monégasques, qui savent qu’ils ne sont pas les seuls à désirer l’ancien parisien, devraient incessamment entrer en contact avec le joueur.
Hormis l’AS Monaco, le Stade Malherbe de Caen, qui vient de valider son billet pour la Ligue 1, a lui aussi des vues sur Bamba Souleymane. Il y a aussi le PSG qui souhaite se débarrasser du Malien Sammy Traoré. Alors, Bamba Souleymane de retour dans l’Hexagone ?                                                                                  Par Abdoul KAPO