Alors que l’ASVEL reçoit ce jeudi 28 mars l’AS Monaco à la LDLC Arena, le propriétaire du club rhodanien a répondu à quelques questions sur l’état de son club.

Tout d’abord sur l’aspect sportif, l’ancien Spurs ne s’alarme par sur son classement en Betclic Élite. « On fait ce qu’on doit faire en étant derrière Monaco ». Pour autant le numéro 1 de l’ASVEL ne se montre pas satisfait en regard du projet global et de « l’engouement sur nos réseaux, qui n’ont jamais atteint nu tel niveau d’engagement ».

Côté Euroligue, malgré une nouvelle saison en bas de tableau, TP rappelle que son club est « un des plus petits budgets » de la compétition, « il faut laisser le temps au temps, se développer sans se brûler les ailes ». Sans s’étaler, Tony Parker laisse planer le doute sur la situation d’un versement de 5 millions d’euros que le sponsor Skweek n’aurait pas réglé au club.

Critiqué sur son attitude autoritaire, avec en point d’orgue une saison avec un double licenciement d’entraîneur (son frère T.J Parker en octobre, et Gianmarco Pozzecco en janvier), le meneur ne tremble pas. « Regardez l’historique depuis 10 ans, les titres, la licence en Euroligue, l’académie de la nouvelle salle... » indique-t-il avant d’affirmer avoir reçu « de nombreux soutiens » suite au licenciement de Pozzecco.