Affaire TP Mazembé : la CAF réagit
Affaire TP Mazembé : la CAF réagit
Dans le dossier Al-Hilal-TP Mazembé, la Confédération africaine (CAF) affirme qu'elle n'était pas obligée de faire jouer les matches de la dernière journée de la Ligue des champions d'Afrique en même temps et se défend de toute entorse à l'équité sportive. Les dirigeants du club congolais s'étaient émus du changement tardif de date pour la rencontre, avancée du samedi 20 au vendredi 19 septembre une semaine à peine avant le coup d'envoi. Ils estimaient que ce changement leur portait préjudice et avantageait les Camerounais du Coton Sport et les Nigérians d'Enyimba, qui ont joué le lendemain en connaissant le résultat de leur match. Les deux équipes se sont d'ailleurs qualifiées pour les demi-finales. Souleymane Habuba, directeur de la communication de la CAF, a mis en avant des impératifs de « sécurité », expliquant que le Soudan ne pouvait pas accueillir deux matchs en même temps. El-Merreikh disputait à Oumdurman, la 4e journée de la Coupe de la Confédération, à 40 kilomètres de Khartoum, où s'est joué Al-Hilal-TP Mazembé.