Plébiscité à la tête de la FIP après le dépouillement des votes, N’Goma Joseph Etienne compte se mettre le plutôt que possible au travail afin de redorer le blason des sports boules. Pour lui la première action qu’il faut mener, c’est de faire en sorte que tous les boulistes ivoiriens soient rassemblés.

Quels sont vos premières impressions après le résultat des urnes ?

Je dis merci à tout le monde pour la confiance portée en ma personne. Je serai à votre écoute pour porter la voix de tous les clubs afin qu’on puisse avancer ensemble. C’est ensemble qu’on pourra certainement réussir. Je souhaite que vous aussi président de clubs, veniez à la fédération ou même envoyiez des mails pour communiquer sur nos soucis afin qu’on puisse les porter au niveau des autorités.

Quelles sont les premières actions que vous allez mener pour redorer le blason de la pétanque ?

C’est le rassemblement parce qu’on est très divisé. Mais je pense que le rassemblement derrière une bonne politique va nous permettre d’aller loin. Et ça c’est important. Qu’on puisse avoir des terrains, voir les autorités pour qu’ils puissent nous accompagner afin d’avoir des infrastructures pour qu’on puisse laisser quelque chose pour les jeunes de demain. C’est important.

Quel avenir pour l’avenir de la Pétanque en Côte d’Ivoire ?

Je vois un avenir radieux pour la prochaine fédération et je pense que les contacts seront pris au haut niveau pour que chacun de nous puisse être satisfait et aussi pour les jeunes futurs joueurs, les leaders de demain puissent voir un champ d’action qui a été mené pour vulgariser au mieux la pétanque. Les embuches il y en a dans la vie mais je pense qu’avec l’union le rassemblement on pourra y arriver.

Allez-vous travailler avec votre adversaire lors de ce scrutin, le président Djadou Gbessi ?

Pourquoi pas, je ne suis propriétaire de la fédération. Elle appartient à tout le monde. On vient de voir ici au cours de cette assemblée générale que c’est tout le monde qui m’a porté donc il faut être à l’écoute de tous et avoir une bonne politique qui puisse satisfaire tout le monde.  Les choses changent, le monde change et il faut changer avec.

Propos recueillis par Armel YAO