« La neutralité carbone est l'objectif d'Honda. Selon nous, l'orientation future de la Formule 1 est conforme à notre objectif (...), c'est pourquoi nous avons décidé de nous enregistrer en tant que motoriste et avons ensuite été contactés par plusieurs équipes », de F1, a expliqué Koji Watanabe, président d'Honda Racing. Début février, la Fédération internationale de l'automobile (FIA) a publié une liste de six motoristes, dont Honda, inscrits au départ de la saison 2026 de F1. Pour l'heure, le constructeur japonais, qui a officiellement quitté la F1 à la fin de la saison 2021, est encore présent dans la discipline dans le cadre d'un accord courant jusqu'à la fin de la saison 2025 afin de continuer à fournir une assistance technique dans le développement des moteurs des écuries Red Bull et Alpha Tauri. Mais à compter de 2026, les deux écuries seront associées au constructeur automobile américain Ford. A cette date, les moteurs, déjà hybrides depuis 2014, verront une augmentation de l'énergie électrique et utiliseront des carburants 100% durables.
D'ici là, Honda pourrait annoncer collaborer avec une écurie déjà existante. La marque nippone pourrait aussi s'associer à une nouvelle équipe pour rester en F1, puisque la FIA a lancé un appel à candidatures pour accueillir de nouvelles écuries afin de potentiellement augmenter le nombre d'équipes présentes sur la grille, actuellement de dix. 
 Outre Honda et Ford, un autre grand nom de l'automobile, l'Allemand Audi, est également attendu en 2026 pour ses débuts dans la catégorie reine du sport auto. Il sera associé à l'écurie Sauber (actuel Alfa Romeo). Ferrari, Mercedes et Renault (Alpine), actuellement trois des quatre motoristes présents dans le championnat, seront aussi présents au départ de la saison.